Groupes de travail

Les Groupes de travail sont normalement créés d’une manière formelle ou informelle dans le contexte des organes (décisionnaires ou subsidiaires) de la CMS y ses instruments. Certains de ces Groupes de travail sont opérationels uniquement pendant la réunion de ces organes, tandis que d’autres sont chargés de travailler entre les sessions afin d’émettre des conseils ou des recommandations. Selon la nature de leur mandat, les Groupes de travail peuvent être constitués de représentants des États membres ou d’experts scientifiques issus ou non des organes techniques de ces instruments.

D’autres Groupes de travail sur divers sujets et espèces ont été créés sous l’égide des Accords et MdE.

Active Working Groups


Groupe de travail sur le changement climatique

Création du Groupe de travail

La cinquième réunion de la Conférence des Parties à la CMS (COP5, 1997) a adopté une recommandation appelant à la création d’un groupe de travail restreint pour guider les décisions du Conseil scientifique sur le changement climatique. La recommandation 5.5 a fourni la base du mandat de la CMS concernant le changement climatique, développé ultérieurement par les résolutions 8.13, 9.7 et 10.19.

Oiseaux migrateurs terrestres en Afrique et en Eurasie

Création du Groupe de travail

La dixième réunion de la Conférence des Parties à la CMS (COP10, 2011) a adopté la résolution 10.27 Améliorer l'état de conservation des oiseaux migrateurs terrestres en Afrique et en Eurasie. À travers cette résolution, la Conférence des Parties appelle le Conseil scientifique et le Secrétariat à soutenir cette initiative, notamment par l’établissement d’un groupe de travail placé sous l’égide du Conseil scientifique et destiné à guider l'élaboration et la mise en œuvre du Plan d’action.

Réduire le risque d'empoisonnement des oiseaux migrateurs

Création du Groupe de travail

En 2011, la dixième réunion de la Conférence des Parties à la CMS (COP10) a adopté la résolution 10.26 Réduire le risque d'empoisonnement des oiseaux migrateurs. Celle-ci appelle les Parties à la Convention, les États de l’aire de répartition non-Parties et les autres acteurs, y compris les organisations non gouvernementales, à entreprendre des activités de coopération pour lutter contre l’empoisonnement des oiseaux migrateurs et pour établir un groupe de travail sous l’égide du Conseil scientifique.